Ce jeune belge

Ce jeune Belge, de l’étudiant-chercheur à l’ecole polytechnique de Lausanne (Suisse), est l’un des trois créateurs de Signal, une application gratuite pour smartphone permet de crypter les appels téléphoniques et les SMS. connexion entre les deux appareils dans lesquels le Signal passent à travers l’Internet, mais restent difficiles pour tout observateur extérieur. N’importe quel possesseur de smartphone peut avoir, sans aucune formalité ou de l’enregistrement service dans un passé récent réservé aux chefs d’état, DIRECTEUR de sociétés multinationales et d’agents secrets. Nouveauté Signal que nous n’avons pas besoin d’être« geek pour l’utiliser: après le téléchargement de l’application, tout se fait automatiquement.« Les systèmes précédents en demandaient trop d’utilisateurs, note Frédéric Jacobs. C’est que jusqu’à présent, le public est très peu utilisé le chiffrement.» Il fait appel à la PGP (Pretty Good Privacy), inventé il y a 25 ans Américain Philip Zimmermann, pioneer global de cryptage sur Internet. Compenser les difficultés de chiffrement En Plus de la facilité d’utilisation, un autre objectif prioritaire de Signal était de proposer un chiffrement intégral, de bout en bout.« Le chiffrement et le déchiffrement se passe à l’intérieur de votre téléphone, dit- Frederic Jacobs. Lorsque vous téléchargez l’application, il crée automatiquement une centaine de clés de chiffrement, qui sont stockés sur votre appareil.» Le système permet une rotation systématique:« Chaque clé sera de servir une seule fois. Lorsque vous recevez un message, vous utilisez une clé qui va détruire tout de suite, et quand vous envoyez un message, l’application crée une nouvelle partition. Ainsi, si un attaquant veut casser le cryptage de vos messages, il sera obligé de commencer à travailler pour chaque message. Et s’il s’emparait de la clé, il ne peut pas lire vos messages anciens.» En général, l’équipe permanente du Signal se compose de cinq personnes. Le budget reste tendue, et les salaires. Pour gagner correctement sa vie, Frederic Jacobs a travaillé comme consultant informatique de l’entreprise. A court terme, cet arrangement le satisfait:« jamais je n’ai pensé à m’enrichir à l’aide d’un Signal. Auparavant, j’ai travaillé dans des start-ups, mais j’ai vite devenu méchant de l’atmosphère. Aujourd’hui, je suis membre de l’organisation libérée de l’influence perverse de l’argent. Et rassurez-vous, nous n’allons pas vendre dans Google.» Pour le grand public et en Allemagne et aux etats-Unis Dans ces moments d’urgence et de la guerre contre le terrorisme, les créateurs de logiciels de cryptage des ennemis puissants, avec le directeur du FBI jusqu’au premier ministre du royaume-uni. Frederic Jacobs garantit que le Signal n’a pas de porte dérobée, et il peut le prouver:« Notre code est open source, et, disponible librement sur Internet. Tous les experts peuvent analyser et décortiquer à loisir.» Il affirme également que, à ce jour, le Signal n’a subi aucune pression, officielle ou encore:« Personne n’est venu à nous, peut-être parce que nous sommes encore peu connus.» |-le”> -le Signal ne donne pas le nombre exact de son nombre d’utilisateurs, mais l’application a été téléchargée des millions de fois. Le Signal a des dizaines de relais sur tous les continents. À la fin de décembre, les principaux étaient aux états-Unis (côte est et la côte ouest), l’Allemagne, l’Irlande, le Brésil, l’Australie et Singapour:« Leur nombre exact varie en fonction des besoins, -dit Frederic Jacobs, des serveurs des gens ordinaires, qui se louent à la minute. Lire : Nous avons vérifié le Signal, une application qui vous permet de passer des appels sécurisés un Signal a un serveur central, installé aux états-Unis, qui envoie des notifications sur l’appareil avant d’appeler. De ce fait, le système n’est pas totalement invulnérable. Pour le reste cryptologues connus qui ont testé le code un Signal dit qu’ils ont été impressionnés par sa qualité. Dédicace lumineux vient Philippe Zimmermann qui travaille aujourd’hui pour Silent Circle, une société américaine offrant un service payant de chiffrement des communications, dont le siège se trouve en Suisse à partir de 2014.

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